Repas chez mon Tandem, au menu Pfannkuchen. C'est allemand, mais il y a une bonne liste de choses qui s'appelle comme ça, on va récupérer la recette. Visionnage d'un documentaire sur la "nuit des bombes" sur Darmstadt à la libération, en présence d'une personne qui y a assisté. Il n'y a pas beaucoup de commentaires à faire. A posteriori, j'ai eu quelques explications sur les causes de cet acharnement sur cette ville plutôt qu'une autre : À Darmstadt se trouvait l'entreprise Merk (les médicaments) qui fabriquait du plexiglas qui servait pour les avions, l'entreprise Röm qui fabriquait des cockpit, et l'université qui avait participé au développement du V2, ce qui en a fait une cible privilégiée. D'autre part, elle a servit aussi à roder le système de bombardement, notamment avant de s'attaquer à Dressen et Berlin. Pour finir, il y aurait eu aussi unr rôle de contre-propagande avec des tractes jettés où l'on pouvait lire : "Stadt im Wald, wir kommen balde" [texte à vérifier].
En rentrant, juste sous ma fenêtre se tenait la Sommer-fest... Heureusement la musique était variée sans trop de boumboum, alors ça allait.
Avec Denis, petit tour improvisé à Frankenstein pour voir le départ d'un train à vapeur, il emprunte les voies du tram jusqu'à Eberstadt. On a même eu le droit à une petite explication personelle, par exemple, la vapeur est à 12 bars, puissance égale à celle d'une grosse voiture... Le reste, c'est écrit sur l'image . C'est organisé par le historische heag fahrzeuge.
On a hésité à la faire, car une église étant une église, que peut il y avoir de plus à voir lors d'une nuit qui leurs seraient consacrées ? Donc merci à Lisa, ma mibewohnerin qui m'a expliquée qu'elles étaient les deux les plus pertinentes. Donc Nacht der Kirchen avec 44 églises en tout genre visitable (ne pas confondre avec la visitation...). En premier, la Stadtkirche où, outre l'enceinte de l'église elle même, nous (le groupe de français : Denis et moi ) avons pu visiter la Kirchhof (pourle coup je pense que c'est pas une Friedhof), un cimetière au sous sol. C'est étonnant, car l'église est en plein centre ville, elle ne paye pas de mine, et pourtant dessous repose les "rois" (des Ludwig en veux tu en voilà). {Bon en fait, c'est des caisses en bois, dans une pièce ambiance église, ni plus ni moins
]. Ensuite, nous avons pu monter tout en haut du clocher, qui n'est, pour anecdote, plus celui d'origine, détruit pendant le bombenacht à la libération. À 45 mètres de haut [fléche à 63m] (Luisenplatz faire ridicule à coté), 185m au dessus du niveau nul, alors que manifestement personne ne savait qu'on pouvait monter, nous avons pu nous faire plaisir à faire de la photo.
Schloß vu du haut de la Stadtkirche. À noter dans le ciel sur l'horizon à droite : feu d'artifice à Frankfurt. En médaillon, la colone de Luisenplatzt. |
Ensuite, la Sankt Ludwig, une église totalement ronde, où devait avoir lieu une procession. c'était ni plus ni moins une chorale accompagnée par un orgue, jolie, mais l'ambiance pieuse, c'est dur quand on est dans un esprit de visite.
Puis la Russische Kapelle, dans laquelle j'aurais bien aimé rentré, surtout si l'intérieur vaut l'exterieur. Mais c'était fermé . (voir une photo au 05 Oktobre 2006)
L'église suivante sera la Stiftskirche : drôle de rassemblement tassé dans un coin de l'église sur des chaises à boire je sais pas trop quoi en priant. Les rabatteuses ont voulu nous inclure, mais on a passé notre chemin... .... pour aller à l'Andreasgemeinde pour un johannisfeuer im Innenhof. Le dico traduit par feu de la Saint Jean, mais je pense que c'est une erreur, ça devait vouloir dire réunion satanique, ou un truc du genre. Ils ont bien essayé de nous convier dans leurs cercles, mais on a refusé, on avait pas de saucisses ! (voir le médaillon de la photo suivante)
Ensuite, retour en coupant, ce qui nous fait tomber par hasard sur : Bessunger Kirche (oui oui, c'est dans la même rue que le Jazz Institute), il y avait un concert d'un ensemble de cordes, duquel nous avons entendu la dernière pièce : Der Winter - Allegro non molto - Largo - Allegro extrait de Die vier Jahreszeiten de Vivaldi. Très belle prestation, on aurait dû y aller plus tôt !
Puis enfin à 1 heure du matin, nous sommes rentrés . Dans l'ensemble, il est à noter une organisation des églises particulières, entre celle où il y a deux ailes à la hauteur de l'orgue pourvu de banc tout comme la nef (Stadtkirche) , où toute ronde (Sankt Ludwig), ou alors on arrive dans une salle vide, et la nef est à l'étage (Stiftskirche).
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Petite sortie à la Heinerfest, L'origine de ce nom vient de Henry et toutes les variantes de ce prénom dans le monde, on ne connait pas trop le pourquoi du comment. L'origine de cette fête vient de l'après-guerre, où il a été décidé qu'il fallait aller de l'avant malgré un environnement de ruine. Cette fête au début très petite se tennait sur la Markplatz, et il y avait un programme qui allait de concert à des pièces de théatre, des expositions d'artistes etc. Aujourd'hui, cette fête est beaucoup plus grosse, et son origine n'est plus connu pas grand monde, mais il reste encore plein de thème qui sont en rapport avec son origine. Notamment, il a été rajouté par la suite la précense de stand de divers pays, ventant leurs cultures, avec une d'entre elles prépondérantes chaque année. Cette année, il s'agit de XXX Ambiance sympathique, où nous étions tous de grands enfants... |
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J'ai testé pour vous, une randonnée à vélo Darmstadt ←→Rhein, ben faut pas le faire, c'est comme l'Australie en kangourou, c'est pas top... (© Coluche). En tout, environ 80Km, sur terrain plat, autant par le dénivelé que par le paysage, surtout dans le passage dans l'Industriegebiet ! Pour ce qui est des passages dans la réserve Naturelle, heu, on y passé ? Je préfère largement celle qu'il y a derrière chez nous à Darmstadt. Les gens étaient sympa, alors, la journée était assez bonne. Après deux crevaisons à l'aller, s'être perdu au retour, on a fait un passage à Worms am Rhein. Le centre ville a deux trois monuments jolis. Le soir, repas chez Andreas, mon tandem (et celui de Nat), pour fêter son anniversaire, puis finalement, rentré en Bus, le vélo n'étant à ce moment plus trop séduisant, bien que le trajet aurait été plus court. |
L'ultime test de l'intégration dans le pays : l'épreuve du garagiste... Il a fallu que ma voiture avant que je sois rentré en France... Enfin, juste le Kabelverteiler a changer, et ça remarche . Heureusement, j'avais cherché mon vocabulaire avant, même si finalement, Andreas m'a accompagné. Merci !
Voyage d'une semaine à 4 avec la petite toto de Nat en camping. Le programme m'a tout particulièrement plus, car on s'est pas limité aux grosses villes, mais aussi à de jolis petits villages et coins de nature. Dans l'ordre, on a fait : Stuttgart, Salzbourg, Innsbrück, zugspitze (annulé), schloß Linenhof, Oberammergau, schloß Neuschwanstein, la romantik straße [Mondsee - Bad Ischl - Hallstatt ...], Kloster St Florian, Kloster Melk (monastère), Wien [Sisi museum & Kaiserappartements - Schatzkammer museum], München, KZ Dachau, Botanischer Garten München. Pour reprendre l'expréssion fétiche de la semaine «ça chope!» © Caro
Deux nuits en auberge de jeunesse, une nuit dans la voiture (sic) et tout le reste en camping, la moitié du séjour sous la pluie, mais malgré ça, une bonne ambiance, et de bonnes vacances :). J'ai la flemme d'écrire un blabla sur tous les détails, pour ça, lire ceux de Nat ici (si elle n'a pas la flemme aussi)!
Des photos bientôt si j'arrive à me décider :o
Ben voilà donc, merveilleux souvenirs, un grand merci à Nat qui en a eu l'idée et qui a tout organisé.
Sur une idée d'Alex, mon mibewohner, et accompagner de Stefan (l'autre coloc), on est allé à 3 visiter ce chateau du XIIIème siècle. Il n'est pas très grand, mais des gens jouent dans different endroit le role d'un métier, et en explique les détails, c'était très intéressant. J'ai fais plein de photos, mais pas le temps de trier choisir etc, je bosse tout ce que je peux mon dernier exam pour avoir du temps libre et profiter de la fin de mon séjour en Allemagne
Matinée improvisé avec Nat au Palmengarten. Il y avait pour l'occasion une exposition sur le thème des pyramide en général, évidemment, grosse partie sur celles d'Egypte. Je vous remets pas de photos, mais c'était super bien, autant pour le coté "y'a des plantes partout", que pour le fait d'y avoir été avec quelqu'un qui aime autant que moi ce genre de chose. Je suis d'ailleurs très triste que nos chemins se séparent. C'est la personne qui me manquera le plus ici, sa personnalité, ses passions, et ce petit truc qui faisait que j'ai toujours apprécié passer du temps avec elle. J'espère que notre amitié survivra à mon retour en France...
A noter notre retour où l'on a fait un petit détour à cause de la Frankfurter west-kreuz qui ne permet pas de prendre l'Autobahn 5 vers le sud...
Et voilà, mon tour est venu de dire "au revoir". Pour ça nous avons griller dans l'enceinte du Studentendorf, avec les gens qui étaient là. (ceux qui n'était pas déjà rentré dans leurs Pays, ou pour les allemands, dans leurs familles.). C'était un peu dur d'être là pour tout le monde et parler avec tout le monde, mais ça a été. L'ambiance "repas au coin du feu" était sympa. Malgré tout, je n'arrive pas vraiment à réaliser que je m'en vais et que c'est fini. Mais tout ça me manquera sûrement !
Après midi aux Taunus Therme, avec JP, Loïc, Greg, Alexandra et Nat. Première fois que j'allais dans ce genre de truc, ma fois, on ressort tout apaisé, ça fait du bien. Par contre, le porte monnaie aussi ressort léger ! Enfin il y avait pas mal de Sauna différents, de bains et autres douches, alors ça doit être normal....
Et voilà, la dernière aussi pour mes mercredi soir dans ce bar, où je jouais de la batterie entre 1 et 3 heures durant suivant la concurence (c'était Open Mic Night). En fait, ça aurait dû être la semaine d'avant, mais on m'a demandé de revenir une fois, et comme finalement je suis pas sûr de passer le dernier exam, on y est allé. Peut-être qu'avec cette expèrience, j'oserais maintenant aller jouer à Bordeaux ! | ![]() |
Après un repas avec Nat pour l'aider dans ses révisions, soirée dans un bar connu pour son Apfelwein avec Stefan et Alex. Il ne vendent même pas de bière ! Pourtant, à Saxenhausen où est ce bar, on produit de la bière, on peut même voir les fut pour distiller dans des vitrines de la rue. Découverte enfin de saucisses vraiment allemande, mais bon, rien d'exeptionel
A force de dire que c'est la dernière, faut bien que ça finisse par arriver . Un grand merci à Nat
qui a tout organisé, et a passé la journée à faire des petits canapés en tout genre (merci à l'aide de Denis), un super bon fourré au pêche
, tout ça avec un exam qui pointait son nez le début de la semaine d'après... Dur de cacher qu'on est un peu triste pour pas plomber la soirée, mais ça c'est bien passé. Du coup, à faire gaffe à ça, je n'ai pas été très éloquent. Mais bon, je pense que les gens savaient dans quelle mesure je les estimais, et c'est les échanges que l'on a pu avoir toute l'année qui les en assures, pas les trois mots que j'aurais pu inventer pour l'occasion.
Ben voilà, c'est fini fini, je rentre pour de bon. Le pari un peu fou d'aller faire un an d'étude à l'étranger sans parler la langue, sans avoir été ne serait ce une fois à l'etranger avant, sans carte, sans dico qui tiens la route, sans beaucoup de sou et sans assurance que les bourses me seraient accordées (je l'ai eu, ouf), avec un voiture sans roue de secours qui menaçait de tomber en panne (et qui est tombé en panne d'ailleurs), sans qu'un autre étudiant en informatique ai participé à ce programme avant a marché. Outre une matière où un prof assis sur ses principes ne m'a pas permis de faire une année où tout serait validé, on peut dire que c'est une réussite : j'ai donc [pratiquement] tout validé, je parle allemand (bon y'a mieux, mais rarement acquis en si peu de temps et en partant de zéro), et j'ai découvert des choses sur moi, ce que l'on pourrait appeler ce fameux enrichissement personnel. (© Greg et moi). Oué, c'est l'expression creuse qu'il est coutume d'employer pour désigner ce petit rien que l'on ne peut pas illustrer avec des mots. Plus sérieusement, vraiment à l'échelle de moi à moi même, j'ai évolué, compris des choses. Quant à dire que ça apportera à l'entreprise qui m'embauchera, je n'en sais rien.
Je me suis pas mal demandé pourquoi une année à l'étranger pouvait avoir un impact important, alors que finalement, c'est pas très loin de ce que j'aurais pu vivre en France, si ce n'est qu'il y a une langue en plus à gérer. Je pense qu'il y a deux choses :
D'une part, contrairement à l'évolution de l'organisation d'une vie où classiquement on peut faire du ménage que sur un front à la fois, avec une expérience de ce type, on est subitement amener à tout changer d'un coup et en même temps : La langue, les fréquentations (j'ai fréquenté ici des gens que, je pense, je n'aurais pas fréquenté en France même si on aurait vécu dans une sphère proche, juste par manque d'affinité des personnalités, sans y voir un jugement de valeur, on peut pas s'accorder avec tout le monde), l'organisation au sens large (rythme de vie, administration....), les habitudes, laisser ou aborder de façons différentes les hobbies et autre activités derrière lesquelles on se cachait pour se vider la tête, et donner une contenance à sa vie, bref tout. Ces changements simultanés mettent au pied du mur, et on doit s'adapter, et vite. On est obligé de voir les choses avec un regard neuf, puisque tout est nouveau et à juger sans expérience (ou presque), et faire tomber les réflexes, les éventuels préjugés etc etc.
Evidemment, il faut y mettre du siens, il y a aussi des gens qui arrive à s'enfermer dans un micro-monde avec des gens de même origine, sans pointer le nez dehors, ou qui par exemple rentre tous les quatre matins à la maison pour contourner le problème. Bien sûr on peut comprendre que l'on en ait besoin, et je ne dis pas que je n'ai pas fais ça à ma manière, mais je dis juste qu'il existe plusieurs degrés d'immersion dans le "nouveau monde" que j'ai déjà évoqué.
D'autre part, part le caractère si particulier de cette année entre parenthèse, où tout prend une dimension d'"unique", tant le temps est une période finie. C'est pour cela que l'on accepte plus volontiers de sortir malgré l'Übung pas fini, juste parce qu'on se dit que bientôt, on pourra plus, ou juste parce que on cherche des occasions de pratiquer la langue, ce qui amène à rencontrer d'autres personnes... C'est un sentiment étrange que l'on peut ressentir que dans ce genre d'expérience. On est dans une bulle (pour reprendre la formulation d'autres) qui éclate inéductablement à la fin de l'année. Dans ce petit monde, toutes les perceptions sont différentes, on juge les conséquences des évènements différemment, on y réagit différemment... Bon, bien sûr, dans le fond, on reste soit même, mais c'est quand même très particulier. Je pense que l'on peut réellement comprendre que si on a vécu quelque chose de similaire.
Il est difficile de préciser plus ce que je cache derrière enrichissement personnel (© Greg et moi), car justement, c'est personnel, mais c'est bel et bien là, et même si je suis amené à perdre une année (à cause de cette matière dont j'ai parlé plus haut, qui me bloque pour aller en Master II au niveau du système français), je ne regretterai rien.[ndlr : mon année a été validé plus tard, par compensation avant même que je passe ce fameux exam]
Je ne regretterai pas aussi pour des raisons peut-être puériles d'avoir fait la connaissance de personne qui compte désormais beaucoup pour moi. Il est de ces personnes avec qui les affinités dépassent les mots, et leurs amitiés sont un trésor que je pense supérieur à celui que m'offre des choses jugées classiquement importante comme les études et leurs débouchées. A quoi servent ces dernières si les relations humaines ne suivent pas ? On est des humains avant d'être des cadres, ingénieurs et autres choses habituellement douces à l'oreille.
A la question "suis je content de partir", je ne serais pas vraiment répondre. C'est un mélange de sentiments. Je ne regretterais pas de plus devoir traduire mes cours avant de les apprendre, mais d'un autre coté, tant de choses prenaient de l'intérêt à cause de la langue. Une vulgaire pub dans la rue est un prétexte pour pratiquer la langue. Je serais content de revoir quelques amis en France, mais certainement qu'ils ont leurs petites vies bien réglé, et ma vie sera malgré ça bien vide, surtout que je laisse aussi ici des gens, certains tout en particulier, qui me manqueront au delà de ce qui devrait être normal.
Me suis je plu ici ? Cela est plus directement lié au pays en particulier. Bien sûr, il y a des différences, on en a bien ri à ce sujet, mais cependant, c'est pas fondamental. Donc je pourrais dire que je ne me suis pas déplu, c'est sûr. Après, ça reste une année très particulière, et je pense qu'elle aurait pu se passer n'importe où dans le monde, le résultat aurait été le même. J'ai aimé cette année, en tant qu'esrasmus, en 2007, à Darmstadt, mais je ne suis pas sûr que l'Allemagne ait vraiment été déterminant là dedans. De la même manière, les choses entreposés chez moi, bien que représentant ce que j'ai pu vivre dans ce pays, et donc par la force des choses, représentant la culture Allemande, n'auront à mes yeux qu'une représentation limité aussi dans le temps : L'année toutes spéciale à Darmstadt en 2006/2007.
Il faut que je finisse de blablaté, faire un texte de trois kilomètres de long ici ne me donnera pas quelques heures de plus ici auprès de ceux que j'aime. Quand un livre est fini, il faut le fermer. J'espère de tout mon coeur que la vie me donnera la possibilité d'écrire les tomes suivant particulièrement avec certaines personnes.
Petite visite à Floriane qui a été Eramus avec nous le premier semestre. Merci à l'Umleitung entre Karlsruhe et Baden-banden, qui a dévié 2 fois 3 fois dans la ville, et qui m'a fait perdre au moins 2 heures. Enfin, on a quand même pu taper la causette comme dans nos après midi autour d'un café au bon vieux temps. Souvenirs évoqués, les 6 derniers mois racontés, la ville visitée, c'est trop bien de ce retrouver : On prévoit de se voir cette fois ci à Bordeaux dans pas longtemps .
La route s'est bien passée, la voiture à tenu, contrairement aux mauvaises langues . Photo à l'appuis, même une ferarrie à été bloquée derrière mois dans les bouchons
. Par contre, faire gaffe aux itinéraires Mappy, car il m'a fait par un col, tout ça parce que c'était plus court...
Après le reste de la route (presque) sans encombre, me voilà dans ma chambre à Bordeaux, et ça me semble bien vide à coté de l'année que je viens de passer. Par hasard, le moment que je choisi pour rendre le Hauptbescheinigung correspond à l'accueil officiel des Erasmus, et je suis convié à me joindre à eux. Du coup, visite de l'école du vin de Bordeaux, et connaissance avec une bonne poignée d'Allemand. Quel plaisir de pouvoir rendre utile ce que j'ai appris (n'est ce pas Greg ). C'est tout à fait ce qu'il me fallait pour faire une transition au retour à la vie normale en douceur. C'est un peu comme un deuxième Erasmus... C'est vraiment étonnant de voir à quel point les choses se sont passé exactement comme dans notre semaine d'intégration, ceux qui parlent anglais, les groupes qui se forment quasi systématiquement par langue, quelques uns qui résistent...
L'après midi à parler allemand pour guider ceux avec qui ont a un peu visité la ville, plus la confirmation que mon année à Darmstadt était validée, c'est ce que j'appelle une bonne journée... ... il me manquerait juste quelques personnes que j'ai laissé derrière moi là bas à 1200Km...
Une rencontre entre des Allemands de Bordeaux et des Français germanophones dans un bar est organisée, et j'y suis convié. Donc pour l'instant, je reste très actif vis à vis de cette langue. Contrairement à ce dont j'avais peur, les choses ne s'arrêtent pas, et l'histoire continue. Je suis sûr que ça sera le cas pour toutes les histoires de Darmstadt...
Il faut bien finir par clore aussi ma bafouille sur cette année. Alors voilà, un an partagé ici, j'espère que ça servira à certain, que ça fera naître des envies de ce jeter à l'eau pour d'autre, quant à moi, ça sera un moyen de me souvenir...